Gunnar Lovelace lance l'initiative UNFK pour défier les grandes entreprises à travers l'humour et les blagues
Gunnar Lovelace lance l'initiative UNFK pour défier les grandes entreprises à travers l'humour et les farces
Gunnar Lovelace, cofondateur de Thrive Market, a dévoilé une nouvelle initiative audacieuse appelée UNFK. Cette initiative vise à confronter les grandes entreprises en utilisant l'humour et les farces comme principaux outils. Pour lancer ce mouvement, l'application UNFK présente le "Jeu du Dong", une fonctionnalité où les utilisateurs peuvent gagner des récompenses en lançant virtuellement des godes sur les avocats d'entreprise. De plus, Lovelace a des plans ambitieux pour envoyer 50 000 godes aux bureaux de JPMorgan, dans le but de susciter une participation massive à des actes de désobéissance civile.
Dans un rebondissement intéressant, Lovelace, désormais appelé Agent Lovelace, s'appuie stratégiquement sur le sentiment anti-établissement qui imprègne la communauté des cryptomonnaies, cherchant à amplifier la portée de sa campagne. Lors de la prochaine conférence Consensus 2024, il organisera une série de stratagèmes non conventionnels, mettant en scène des imitateurs du PDG de JPMorgan, Jamie Dimon, pour un coût estimé à 25 000 $. La mission globale d'UNFK est d'susciter un engagement collectif dans la désobéissance civile à travers les voies non conventionnelles de la comédie et de l'absurde, en s'appuyant sur la communauté des cryptomonnaies pour amplifier son influence.
Points clés
- Gunnar Lovelace lance UNFK pour utiliser les farces et l'art performance contre les grandes entreprises.
- L'application UNFK propose le "Jeu du Dong", récompensant les utilisateurs pour lancer des godes sur les avocats d'entreprise.
- Lovelace prévoit de livrer 50 000 godes au siège de JPMorgan, visant une participation massive à la désobéissance civile.
- UNFK cible le sentiment anti-établissement de la communauté des cryptomonnaies pour un impact plus large.
- L'initiative d'UNFK utilise l'humour et l'absurde pour faire pression sur les grandes marques grand public qui tirent profit de mensonges et de destructions.